Jacques Tenenhaus
Né(e) en 1947
France
BIOGRAPHIE
Jacques Tenenhaus est un artiste sculpteur français vivant à Paris.
Jacques fait partie de la génération d'artistes née juste après la Seconde Guerre mondiale, ayant contribué au renouveau des idées de 1968.
En 1974, avec son épouse Christiane, il fonde un atelier de peinture et de céramique destiné aux enfants et aux adultes, s’inspirant de l’approche d’Arno Stern et de ses ateliers de peinture d’expression libre.
Peintre, aquarelliste et sculpteur, Tenenhaus réalise sa première sculpture en pierre en 1969, un autoportrait représentant un visage d’adolescent. Plusieurs de ses premières œuvres, avec leurs traits accentués, préfigurent son style futur.
Les années 1980 marquent un tournant dans son évolution artistique. Il commence à travailler la terre et s'intéresse au thème du couple, cherchant à explorer les limites d’une relation amoureuse fusionnelle. Il représente l’humain à travers ses fonctions essentielles, notamment de la tête aux mains. Sa série des "Gastéropodes" illustre cette recherche, chaque sculpture lui permettant de révéler ses émotions cachées. Pour lui, l’idée de l’œuvre et son titre n’émergent qu’après sa création.
En 1986, il entame une série d'œuvres intitulée "Les Épluchures", dans une démarche visant à atteindre l’essentiel.
En 1998, il produit de nombreuses œuvres en bronze. Après avoir exploré la représentation fusionnelle du couple, il se concentre désormais sur les débuts d’une relation. Son travail devient alors un véritable journal intime, ses œuvres reflétant les moments marquants de sa vie personnelle. C'est le cas de "Générique" en 2003, une pièce inspirée par sa rencontre amoureuse avec Caroline Guérin, marquant l'émergence d'un nouveau langage artistique.
Dans ses œuvres, le corps est représenté par une enveloppe, une paroi creuse symbolisant l'humanité flottante. La fente, présente dans presque toutes ses sculptures, fait écho au mystère féminin.
En 2020, influencé par l'attrait croissant pour les sculptures contemporaines colorées, Tenenhaus explore une nouvelle technique en troquant le dessin au crayon pour la découpe au couteau sur une plaque de terre. Celle-ci est ensuite cuite et émaillée selon la technique japonaise traditionnelle du Raku. Pour lui, la sculpture demeure un acte de transmission et de méditation.
Jacques fait partie de la génération d'artistes née juste après la Seconde Guerre mondiale, ayant contribué au renouveau des idées de 1968.
En 1974, avec son épouse Christiane, il fonde un atelier de peinture et de céramique destiné aux enfants et aux adultes, s’inspirant de l’approche d’Arno Stern et de ses ateliers de peinture d’expression libre.
Peintre, aquarelliste et sculpteur, Tenenhaus réalise sa première sculpture en pierre en 1969, un autoportrait représentant un visage d’adolescent. Plusieurs de ses premières œuvres, avec leurs traits accentués, préfigurent son style futur.
Les années 1980 marquent un tournant dans son évolution artistique. Il commence à travailler la terre et s'intéresse au thème du couple, cherchant à explorer les limites d’une relation amoureuse fusionnelle. Il représente l’humain à travers ses fonctions essentielles, notamment de la tête aux mains. Sa série des "Gastéropodes" illustre cette recherche, chaque sculpture lui permettant de révéler ses émotions cachées. Pour lui, l’idée de l’œuvre et son titre n’émergent qu’après sa création.
En 1986, il entame une série d'œuvres intitulée "Les Épluchures", dans une démarche visant à atteindre l’essentiel.
En 1998, il produit de nombreuses œuvres en bronze. Après avoir exploré la représentation fusionnelle du couple, il se concentre désormais sur les débuts d’une relation. Son travail devient alors un véritable journal intime, ses œuvres reflétant les moments marquants de sa vie personnelle. C'est le cas de "Générique" en 2003, une pièce inspirée par sa rencontre amoureuse avec Caroline Guérin, marquant l'émergence d'un nouveau langage artistique.
Dans ses œuvres, le corps est représenté par une enveloppe, une paroi creuse symbolisant l'humanité flottante. La fente, présente dans presque toutes ses sculptures, fait écho au mystère féminin.
En 2020, influencé par l'attrait croissant pour les sculptures contemporaines colorées, Tenenhaus explore une nouvelle technique en troquant le dessin au crayon pour la découpe au couteau sur une plaque de terre. Celle-ci est ensuite cuite et émaillée selon la technique japonaise traditionnelle du Raku. Pour lui, la sculpture demeure un acte de transmission et de méditation.